mardi 8 mai 2012

Défi 2 : l'orange, ça se dégrade

Bonjour,

Deuxième semaine de défi... irai-je jusqu'au bout ?

Aujourd'hui, c'est l'orange. Je m'étais dit que ce serait facile car j'en ai plusieurs : du coup, mon choix a été de ne pas choisir. Cette teinte d'été méritait d'être évoquée cinq fois, histoire de faire enfin venir les beaux jours.

Alors, voici mon filet d'oranges :


De bas en haut, ou du plus clair au plus foncé :

Auriculaire : Mavala 182 Fresh Melon. Acquisition récente. Qui ne craque pas pour les Mavala : petite taille, petits prix, plein de couleurs... le droit à l'erreur. Lors de la première application, j'avais été déçue : les pastels, ça ne pardonne pas les stries, les imperfections, les fissures. J'ai beau utiliser polisoir et base, j'ai du mal à trouver un pastel indulgent, et celui-ci n'en fait pas partie. Il faut que je continue à essayer de domestiquer la bestiole, d'autant qu'ici, en dégradé, je la trouve bien sympathique. Pas vous ?
Pastel genre crème glacée, fini à peine nacré, légèrement satiné. 3 couches pour dissimuler les petites misères.

Annulaire : Peggy Sage 394 Mandarine Girl. Je me suis mordu les doigts d'avoir acheté celui-ci, je craignais qu'il ne soit un doublon du prochain. En fait, c'est bien une teinte intermédiaire. J'avais juste fait un essai (jamais photographié) de ce jaune-orangé que j'ai hésité à porter jusqu'à ce jour... J'attends l'été.
Crème pas très opaque (c'est peut-être aussi ce manque d'opacité qui me gênait). 3 couches.

Majeur : Risqué Laranja Siena. Do Brasil :-) Un vrai orange pour temps de soleil. Il faut que je bronze. Pas très opaque mais laqué très brillant, ce qui ne se remarque pas sur la photo car la lumière tombe sur l'auriculaire. 3 couches à moins qu'on aime voir le bord libre.

Index : Catherine Arley 707. Lui, c'est la "pièce rapportée", l'étranger de la série. Je n'avais pas de teinte intermédiaire entre le Laranja Siena et la couleur du pouce, alors j'ai pris ce rouge-orangé fluo qui ne s'éloigne pas trop, mais je ne suis pas totalement convaincue par mon dégradé. Très peu porté à cause de sa couleur tellement claquante que j'avais pensé avoir fait une erreur en l'ayant acheté. En France, on connaît les Catherine Arley holographiques mais celui-ci n'en est pas un, il a de légers reflets dorés (invisibles ici) et un fini satiné presque mat. Bon, mais il ne s'adapte pas si mal que ça, mon étranger, pas vrai ? 2 couches ont suffi.

Pouce : Flormar 236. Commandé chez Polishinail. Lui, c'est vraiment un rouge-orangé presque vermillon, une teinte d'éruption volcanique avec de l'or dedans. 2 couches seulement : on ne dira jamais assez de bien des Flormar. Et à ce prix-là...

Moi, j'aime bien quand ça claque. J'aime bien un peu de douceur aussi. Et là, j'ai tout. L'ensemble n'est pas parfait : je comptais faire quelque chose en plus, alors je n'ai pas mis de top coat. Et il y a le problème de la quatrième teinte qui n'est pas parfaitement dans la suite des autres, bien que la photo le laisse croire. Mais je pense que je vais refaire ce dégradé en été, en automne, en hiver. Mais vous, qu'en pensez-vous ? Vous trouvez que ça jure ? Aimez-vous ces couleurs ou vous font-elles hausser les sourcils ?...

Bises acidulées :-*
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4 commentaires:

  1. Même si je ne suis pas fan du vernis orange, j'aime le "filet d'orange".bises

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    1. Oui, beaucoup trouvent l'orange difficile, alors autant s'amuser avec... Bises

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  2. Très sympa ce petit dégradé orange :)

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Désolée, mais c'est comme ça... suite à une invasion de splog, les commentaires sont désormais modérés.
Merci pour vos petits mots <3 Je réponds à tous les commentaires et je vais voir vos blogs.
Bises :-*